Paris sportifs en ligne : Une histoire de cote !
Le 17/01/2017
En France, on dénombre 12 sites de paris sportifs bénéficiant de la certification de l’ARJEL (autorité de régulation des jeux en ligne). Cette certification leur assure une légalité sur le territoire français. La plupart de ces sites sont situés au Royaume-Uni et certains sont même cotés en bourse. Le parieur peut donc choisir parmi ces 12 sites. Néanmoins, tous ne se valent pas que ce soit au niveau de la réputation ou des cotes.
L’importance des cotes
Le parieur cherche naturellement à pouvoir bénéficier des meilleures cotes pour ses paris. D’un bookmaker à un autre, la valeur de ces dernières n’est pas forcément la même. Selon une étude menée par ODOXA pour Winamax, la principale attente des parieurs par rapport à un site de paris sportifs, est qu’il propose les meilleures cotes (48 %). La sécurisation des données arrive en 2e place (34 %) suivie par l’ergonomie et la facilité d’utilisation (26 %).
Avoir une meilleure cote signifie pour le bookmaker qu’il va proposer une cote plus élevée et plus attractive par rapport à ses concurrents et sur une même rencontre. Le parieur vainqueur va ainsi gagner davantage d’argent pour une mise identique.
Et le vainqueur est...
Si cette étude a été demandée par Winamax, il n’en reste pas moins qu’ODOXA a conduit l’étude en toute objectivité et indépendance. Autrement dit, les résultats ne sont pas influencés par Winamax.
Selon cette étude, les 3 sites de paris sportifs les plus connus sont : celui du PMU (56 %), de Betclic (50 %) et les sites de la FDJ (Parionsweb et ParionsSport) connus par 48 % des personnes interrogées. Pourtant, ce ne sont pas ceux qui bénéficient des meilleures cotes.
Dans ce domaine, c’est le bookmaker Winamax qui propose les meilleures cotes dans 67 % des paris possibles. Ensuite, on trouve Unibet (41 %) et Zbet (36 %). C’était déjà le cas lors des précédentes études menées en août 2015, avril 2016 et septembre 2016.
Cette étude a été menée selon une analyste statistique entre le 1er janvier et le 31 décembre 2016, et sur 10 107 matchs de foot, basket, rugby et tennis. Elle s’est recentrée sur les heures stratégiques de paris : 1 heure avant le match, 6 heures avant, 12 heures avant, 24 heures avant et 48 heures avant.