Euro Millions : le jackpot pour une famille de Côte-d'Or
Le 19/01/2012
L’Euro Millions désormais aussi célèbre que le LOTO®, est un jeu de la Française des jeux qui offre parfois de très belles surprises. Voici une anecdote qui laissera rêveuses plusieurs familles.
Un anniversaire ordinaire
Eté 2011 en Côte-d’Or. Un homme de 60 ans fête son anniversaire avec sa famille. Tandis que la famille composée de 14 personnes (parents, enfants, oncles et tantes…) profite de la fête, une idée lumineuse va leur traverser l’esprit : et s’ils se cotisaient pour jouer à l’Euro Millions ? Le petit manège va durer environ 6 mois, jusqu'à ce fameux 2 décembre 2011, le tirage tourne en leur faveur. Comme quoi, il n'y a pas que le Calvados qui porte chance !
Un jackpot de l'Euro Millions extraordinaire
Le 2 décembre 2011 donc, après s’être cotisée pour jouer à l’Euro Millions, la famille remporte à elle seule le jackpot de plus 27 millions d’euros (27 094 324,20 €). 5 bons numéros et 2 étoiles et voilà que les 14 membres se retrouvent donc avec 2 millions d’euros chacun. Une bonne publicité pour le centre commercial Saint-Martin à Fontaine-Lès-Dijon où l’un des tickets a été enregistré.
Un heureux vainqueur pas toujours chanceux
L’instigateur de cette incroyable cagnotte familiale n’a pas toujours eu autant de chance. D’une part, il leur a fallu 6 mois pour atteindre une somme aussi formidable, de l’autre, l’homme avait déjà failli remporter la somme de 700 000 francs au LOTO® (soit 106.000€). Malheureusement ce jour là, il avait tout simplement oublié de faire valider sa grille. Depuis l’homme s’était rendu plusieurs fois toucher la sculpture de la chouette de l’église Notre-Dame à Dijon. Le moins que l’on puisse dire, c’est que cela aura finit par porté ses fruits.
L'Euro Millions, pas forcément en solo !
En 2011, de plus en plus de familles ou amis ont décidé de tenter leur chance à plusieurs au LOTO et à l'Euro Millions. Et parfois, ça marche car jouer à plusieurs permet notamment de miser plus, pour gagner (peut-être) plus, même si le gain finit inévitablement par être divisé.