« Bref, j’ai joué au poker », c’est pour quand ?
Le 25/10/2011
La mini série de Canal+ se révèle être le phénomène de la rentrée. « Bref » est une chronique de vie d’un homme banal, jouée pendant 1 à 2 intenses minutes par épisode.
Verra-t-on les auteurs de la série mettre leur héros en scène dans un épisode « Bref, j'ai joué au poker » ? Probablement quand on sait la popularité de ce jeu d’argent en France et le succès annoncé des programmes qui en parlent, comme « Drôle de poker » d’Arsène Mosca, prochainement.
Bref ou la chronique simple d’un trentenaire banal
L’histoire de la création de « Bref », c’est la rencontre entre Kyan Khojandi et Bruno Muschio. Ils créent ensemble un personnage qui peut être n’importe qui tant il est banal, avec la « loose » en plus. La mini série est proposée à Canal+ et les deux compères ont décroché le Grand Journal à la rentrée.
Bref, c’est 100 épisodes d’une minute quarante, une tranche de vie. Le héros se retrouve bloqué dans l’ascenseur, trouve un job, a vu un psy, a fait un repas de famille et a entre autres traîné sur internet. Des scènes de la vie quotidienne transformées en sketches.
Vers un « Bref, j’ai joué au poker » ?
Ces tranches de vie quotidienne ont un succès fou tant durant sa diffusion pendant le Grand Journal de Michel Denisot que sur internet. Chaque semaine, les épisodes tournent aussi en ligne, les vidéos font le tour de tous les réseaux sociaux. La page Facebook de « Bref » compte à présent plus d’1,2 millions de fans !
Alors pourquoi ne pas penser à un épisode « Bref, j’ai joué au poker » ? Comme la série, le jeu est devenu un succès populaire avec une grosse communauté de joueurs en ligne. Un épisode serait l’occasion de retrouver deux des phénomènes du moment en évidence. Le jeu de cartes et d’argent que Patrick Bruel a fait connaitre au grand public est désormais rentré dans le quotidien des Français et se décline désormais sous toutes ses formes : la téléréalité sur le poker, les parties des professionnels diffusées à la télé... Bref, on attend ça avec impatience.