Les problèmes des joueurs avec Eurobarre
Le 18/01/2010
Eurobarre est la barre de surf rémunérée la plus connue en France. Néanmoins, les joueurs se plaignent de plus en plus de certains « effets secondaires » de la célèbre barre.
Le principe d’Eurobarre
Un certain nombre de moyens de gagner de l’argent sont aujourd’hui disponibles sur internet. Eurobarre est un des plus connus et des plus utilisés, il fonctionne comme une barre de surf classique. En résumé, le principe est donc d’être payé à regarder les publicités défiler. 50% des gains occasionnés par la publicité sont reversés aux membres. Le système de parrainage demeure le plus intéressant puisqu’être parrain revient à gagner 100% des points de ses filleuls. Par ailleurs, Eurobarre propose des bonus qui permettent soit de gagner des points, soit des filleuls. Ils peuvent être des bonus d’ancienneté, la réponse à une enquête ou enfin les emails envoyés. En conclusion, il est certain que le gros avantage d’Eurobarre est que 100% des points des filleuls reviennent au parrain ainsi qu’au filleul, sans que ce dernier ne soit lésé. A contrario, sans aucun filleul la situation se complique légèrement. Car dans ce cas là, Eurobarre ne rapporte que très peu. Mille points valent environ cinq centimes, la valeur étant augmentée chaque mois. Chaque publicité donne quant à elle environ deux points. C’est pourquoi il ne faut pas s’attendre à remporter des sommes conséquentes sans l’intervention d’un filleul.
Des publicités qui défilent toutes les deux ou trois secondes sur une barre de deux centimètres de large et environ dix centimètres de long… un moyen apparemment simple de gagner de l’argent.
Les principaux inconvénients
- La rentabilité n’est pas encore optimale.
- Il peut arriver que la barre de publicité disparaisse toute seule pour se réactualiser. Dans ce cas, un petit message s’affiche indiquant qu’il faut relancer la barre.
- S’habituer à la présence de la barre de publicité constamment en haut ou en bas de l’écran (comme tous les systèmes de surf rémunéré).
- Lorsqu’on dispose d’une connexion en 56Ko, la barre de surf peut poser des problèmes de ralentissement, le temps que les publicités se chargent notamment.
- La présence des bannières peut provoquer un déplacement systématique des icones de bureau à chaque fermeture.
- Enfin, il semble que certains utilisateurs d’Eurobarre ne soient plus payés depuis plusieurs mois, c’est ce que l’on peut lire sur certains forums. C’est pour cette raison que nous évitons de faire la promotion de ce service aux joueurs, qui fût pourtant considéré pendant longtemps comme le meilleur Paid To Surf en ligne.
Des joueurs se font bannir sans raison
Il n’est pas rare que des joueurs inscrits depuis un an ou plus se décident à demander le paiement de leurs gains, ayant dépassé le cap des quinze euros. La plupart d’entre eux n’ont jamais rencontré de problèmes lors de l’utilisation de la barre. Pourtant la stupéfaction peut s’avérer d’autant plus grande au moment de réclamer les gains. Plusieurs joueurs affirment avoir vu s’afficher sur l’écran après avoir demandé leur paiement « votre compte est suspendu, vous n'avez pas saisi les codes d'accès dans le délai prévu ». N’ayant alors plus accès à leur compte Eurobarre, ces joueurs souvent un peu dépourvus de moyens choisissent la simplicité : retirer la barre. Ils laissent malgré tout des messages d’alerte sur des forums.
D’autres joueurs exclus pour « tricherie »
Un peu à l’image du précédent exemple, des joueurs reçoivent un message leur indiquant « Vous avez été exclu pour triche car nous avons remarqué que vous utilisez un logiciel de simulation de présence (mouse-mover) de style "eurbmanager" ou "eurofake" sur votre PC ». Une principale hypothèse est évoquée par les utilisateurs se plaignant sur les blogs ou forums. Elle consiste à avancer que lorsqu’arrive le seuil de quinze euros, il est grand temps pour Eurobarre de « se débarrasser » de vous pour ne pas avoir à payer. On espère tout de même que les personnes ayant vu la « couleur de leurs gains » ces derniers mois ne sont pas si rares !