770, PokerStars et Partouche, seuls sites licenciés en Belgique
Le 07/01/2012
La Commission des jeux de hasard belge a rendu sa décision concernant les sites de poker en argent réel autorisés en Belgique. Les trois sites sélectionnés sont : PokerStars.be, Casino770.be et Partouche.be.
Depuis le 3 janvier
Le 3 janvier, la législation belge a autorisé les trois sites PokerStars, Casino770 et Partouche à s’implanter sur le marché belge des sites de poker en ligne. En discussion au Parlement depuis deux ans, ce sont finalement c’est trois sites qui auront été retenus.
La Belgique régule son marché des jeux de hasard
Comme en France, la Belgique a décidé de réguler le marché des jeux de hasard et d’argent. Dorénavant les joueurs belges n’auront pas d’autres choix que d’aller sur l’un de ses trois sites s’ils veulent assouvir leur passion pour le poker.
PokerStars, Casino770 et Partouche deviennent les seuls sites licenciés par la Commission. Les fournisseurs d’accès devront quant à eux mettre en place les mesures nécessaires afin de bloquer l’accès aux sites pas (encore) autorisés dans le Royaume, comme par exemple PartyPoker ou iPoker.
PokerStars se retrouve sans surprise dans la liste
La loi belge n’autorise donc que les opérateurs qui sont affiliés à un casino présent sur le territoire belge. Pour avoir une chance d’être retenu par la Commission des jeux de hasard, les sites de poker devaient être associés à un casino présent en Belgique. Cela n’a donc pas été une réelle surprise de retrouver PokerStars parmi la liste, puisque l’opérateur a noué un partenariat avec Circus Casino depuis octobre 2010. Quant à 770, il est pour sa part affilié à Casino Spa.
Une législation plus souple que dans l’Hexagone
Cette régulation du marché belge des jeux d’argent est pourtant plus souple que celle appliquée en France. Le marché se règlemente mais ne se coupe pas du monde. Ainsi les joueurs de PokerStars.be pourront toujours rencontrés les joueurs de PokerStars.com. La Belgique n’a pas instauré de plafond de dépôt, et il n’y aura pas non plus de limitation aux variantes mise en place, pas de modérateur de jeu et les transferts internes de liquidités entre les joueurs sont permis. L’arrivée d’autres rooms est donc à envisager.
Malgré tout, le système de taxation est extrêmement lourd pour celles-ci et il subsiste encore quelques zones de flous sur la fiscalité, notamment en matière de gains : seront-ils soumis à des taxes ?